Les premières expériences bi et SM-Soft de Marie-Claude

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il y a 11 ans

Résumé : un couple en vacances s'abandonne au libertinage et s'aventure sur les chemins troubles de la soumission féminine.

Marie-Claude et moi, Jean-Pierre, sommes mariés depuis une vingtaine d'années et avons eu une vie sexuelle bien remplie. Nous tachons le plus souvent de la pimenter en variant les situations lors de nos rapports.

Marie-Claude répond maintenant presque à toutes mes envies et jouit de plus en plus des expériences nouvelles auxquelles je la soumets.

Pour nos vacances d'été dans une ville du pourtour méditerranéen il y a une dizaine d'années, notre amie Nadia nous avait gentiment prêté son studio et était allée loger chez des copines à deux pas de là.

Cette semaine de vacances avait été particulièrement chaude en température (30° en moyenne la nuit !), mais surtout côté sexe de M-C. La chaleur ambiante, l'alimentation pimentée et la présence le plus souvent près de nous de notre amie et de ses copines y furent probablement pour beaucoup.

Nous logions au dernier étage de l'immeuble en plein centre ville, mais nous n'avions pas de vis-à-vis, aussi laissions nous toujours la fenêtre ouverte et dormions le plus souvent nus au-dessus du lit, ma queue dans la petite chatte encore chaude et gluante de Marie-Claude après nos ébats quasi quotidiens. Quelle semaine de sexe !

M-C avait pris l'habitude durant cette semaine de ne mettre ni soutien-gorge, ni culotte et dès le début de la semaine je lui avais complètement rasé la chatte et le tour de son petit trou afin qu'elle profite au mieux de l'air extérieur, certes chaud, pour lui caresser le sexe.

Nous étions bien loin de ses premières réticences à montrer son minou poilu, elle aimait maintenant pouvoir s'exhiber, en jouissait très fort ensuite mais uniquement avec moi. Elle aimait exciter d'autres que moi, homme ou femme, mais ne voulait absolument pas, jusqu'à cette semaine, avoir des relations même de simples attouchements avec ceux qu'elle excitait.

De la savoir nue en permanence sous de légers vêtements me maintenait en état d'érection quasi permanent. Ses seins restaient incroyablement fermes et se balançaient sans secousse apparente faisant durcir ses tétons au contact du tissu fin de son chemisier. Que de regards sur sa poitrine et sur sa chatte donc, qu'elle n'essayait plus de cacher lorsqu'elle était assise. Certes elle croisait ses jambes comme une femme élégante qu'elle est en toutes circonstances, mais lorsqu'elle changeait de position elle s'amusait souvent, si elle sentait des yeux se focaliser sur son entrejambe, à lever plus qu'il ne le fallait la jambe supérieure et faire profiter ainsi un court instant de la vue de son minou tout lisse aux heureux élu(e)s.

Ce manège ne passa évidemment pas inaperçu de notre amie Nadia et de ses deux copines Sandra et Natacha lorsque nous avons été invités chez elles. A ma grande satisfaction, elles ne portaient pas non plus de soutien-gorge, mais étant toutes les trois en pantalon en début de soirée, je n'ai pu au départ qu'essayer de deviner si elles portaient ou non une culotte.

Nadia et Sandra avaient de petits seins fermes et très haut plantés avec des aréoles très brunes pour Nadia et plutôt roses pour Sandra avec quelques tâches de rousseur parsemées ça et là. Elles n'essayaient en fait pas de les cacher, leurs T-shirts largement décolletés offraient un agréable spectacle chaque fois que l'une ou l'autre se penchaient pour nous servir. Je remarquais alors que Marie-Claude n'était pas indifférente à cette exhibition passagère.

Elle leur rendait souvent la pareille en étant assise sur un pouf au ras du sol et donc avec sa jupe largement remontée sur ses cuisses. Discutant de choses et d'autres comme si de rien n'était, elle se mettait à ouvrir et refermer de temps en temps ses jambes comme pour s'aérer le minou, ce qui avait surtout pour effet de leur montrer qu'elle était nue dessous.

C'est surtout Natacha assise en face d'elle qui profitait du spectacle et qui s'excitait doucement à cette vue, ne participant plus directement à la conversation, partie probablement dans des rêves érotiques, car ses yeux commençaient de s'embrumer. Elle décida alors de monter se changer dans la mezzanine au-dessus, prétextant que son pantalon la serrait et que par cette chaleur elle imiterait bien M-C pour se sentir plus à l'aise. Je me demandais alors si elle allait simplement passer une jupe ou nous faire la totale, enlever sa culotte.

La réponse me parvint quelques minutes plus tard, étant assis près de l'échelle meunière qui desservait la mezzanine, j'eus la joie, et l'érection correspondante, de pouvoir admirer la belle chatte brune de Natacha, un buisson très épais laissant cependant entrevoir ses lèvres déjà humides. Une lampe halogène placée sous l'escalier et dirigée vers le haut m'avait en effet permis de voir en détail les dessous de Natacha qui revint s'asseoir sur le pouf en face de M-C et dire aux filles :

  • « Vous pouvez pas savoir comme c'est agréable d'être en jupe sans rien dessous, n'est ce pas Marie-Claude ? » tout en écartant insensiblement les cuisses et offrir une vue plongeante à M-C qui lui sourit en retour.

Je ne connaissais pas de penchant homosexuel à ma femme. Elle m'avait plutôt jusque là laisser entendre que ça ne l'intéressait pas du tout, au contraire même. Surtout depuis l'adolescence où elle avait du partager un lit en 90 avec sa copine Viviane très portée sur les filles et sur M-C en particulier. Cette nuit avec Viviane collée contre elle par la force des choses et tentant sans cesse de la caresser ou de l'embrasser avait été un véritable cauchemar pour Marie-Claude.

Mais ce soir là face à Natacha et voyant Nadia et Sandra qui montaient à leur tour se changer, M-C commençait à avoir les yeux brillants et probablement la chatte aussi. Seule Natacha pouvait le dire contemplant désormais sans détour le sexe grand ouvert de M-C, jambes écartées, la jupe complètement remontée à présent.

Pour ma part, je me tenais toujours un peu à l'écart près de l'échelle et attendais avec impatience la descente sous les « projecteurs » de Sandra et Nadia. Quel spectacle, la chatte rousse de Sandra resplendissait comme un buisson ardent sous l'éclairage puissant de l'halogène alors que les lèvres rasées de Nadia luisaient sous une petite touffe de poils très noirs découpée en forme de cœur du plus bel effet.

  • « Alors Jean-Pierre, tu te rinces l'œil » dirent-elles en cœur et

  • « Ca a l'air de te faire de l'effet à voir la bosse de ton pantalon» gloussèrent-elles en parvenant à ma hauteur.

Je me demandais à présent comment tout cela allait finir. Je n'avais jamais vu ma femme dans un tel état d'excitation face à d'autres que moi.

Les événements se précipitèrent alors dès que Nadia et Sandra se mirent en tailleur sur les poufs de part et d'autre de M-C et lui donnèrent un petit baiser dans le cou en lui chuchotant à l'oreille :

  • Merci encore pour l'idée de la jupe, c'est pas dans nos habitudes, mais que c'est bon d'avoir le sexe à l'air » et d'écarter alors largement les cuisses en appuyant une main sur un genou et relevant leur jupe de l'autre en l'agitant pour faire de l'air ;

  • « De rien » répondit alors ma femme en tapotant le haut de la cuisse de Nadia de sa main droite et en caressant de sa main gauche les poils roux de Sandra,

  • « L'atmosphère est si chaude maintenant, que j'enlèverais bien mon sweat si vous n'y voyez pas d'inconvénient» ajouta alors Natacha en joignant le geste à la parole.

Je n'avais pu jusque là admirer ses seins si bien cachés sous son pull ras du cou, je ne pouvais qu'approuver son geste et contemplais alors une de ses paires qu'un honnête homme aurait eu du mal à maintenir dans ses mains. Ils retombaient certes légèrement sur son ventre, vu leur poids, mais les aréoles foncées et très larges avec deux tétons hypertendus vers le bas ne demandaient qu'à être tétés.

  • « Je peux t'aider si tu veux » me suis-je vu répondre en m'approchant alors de Natacha la bouche ouverte.

  • « Oh ! oui viens me téter !!» supplia-t-elle en bombant la poitrine vers moi.

M-C continuait en face de moi à caresser allègrement les sexes de Nadia et Sandra qui en retour s'occupait de sa poitrine, le chemisier complètement ouvert, chacune ayant un sein en bouche. Un concert de succion résonnait alors dans la pièce ponctué par les gémissements de l'une ou l'autre.

Natacha tendit alors sa main droite vers mon pantalon, caressa doucement ma queue à travers le tissu tout en me relevant doucement la tête de sa main gauche en me tendant ses lèvres. Le contact de sa main tentant d'enserrer ma bite me fit sursauter, je tournais instinctivement la tête pour voir la réaction de M-C, elle me sourit les deux mains toujours enfoncées dans les chattes de Nadia et Sandra imprimant un lent mouvement de va et vient.

Je pris alors Natacha dans mes bras et l'embrassais longuement sur la bouche. Sa langue pénétrait avidement la mienne tandis que ses mains s'acharnaient à ouvrir ma ceinture, très vite mon pantalon tomba sur mes chevilles. Elle s'écarta un peu pour ouvrir ma chemise et la retirer, je me laissais aller à cet effeuillage, l'aidais même à enlever définitivement mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes. Je restais là comme un con avec mon caleçon, ma queue en sortait indécemment. Elle s'en amusa en la caressa de nouveau, puis se mit à la masturber un peu avant de retirer complètement ce bout de tissu devenu inutile.

Je me retrouvais le seul complètement nu au milieu de la pièce, mais entouré de trois filles magnifiques qui ne demandaient qu'à m'imiter. Même dans le meilleur de mes rêves je n'avais jamais imaginé une telle situation.

Natacha se mit alors à me pomper le sexe pendant que je m'occupais de ses seins. Je n'en avais jamais soupesé d'aussi gros. Je mis alors ma queue entre eux, elle disparut presque totalement et commençait à me masturber avec. Quelle sensation, cette peau si douce sur ma queue, je sentais le plaisir monter, mais ne voulais pas déjà éjaculer. Je me suis remis alors à téter les seins de Natacha.

De leur côté M-C, Nadia et Sandra s'étaient complètement déshabillées l'une l'autre et avaient commencé une triangulaire de broute minou si je puis dire.

En effet, M-C s'était allongée sur le côté une jambe relevée pour permettre à Nadia de lui lécher le sexe et titiller son bouton. Nadia à quatre pattes avait posé son minou rasé sur la bouche de Sandra allongée de façon à présenter son buisson roux à la langue de ma femme. Elle qui autrefois ne voulait pas que sa copine Viviane la caresse, elle avait bien changé et semblait aujourd'hui autant apprécier d'être léchée au plus profond de sa fente ou de son petit trou par une femme que de téter le clitoris d'une autre.

Devant ce spectacle Natacha ne se sentait plus, elle en vibrait d'émotion, se caressant les seins violemment et se pinçant les tétons. Elle voulait que je la prenne rapidement. Je lui demandais alors un préservatif.

  • « Tu en trouveras dans le tiroir de la commode derrière moi, mais je t'en supplie enfiles le vite et baise moi fort !!! » me répondit-elle toute essoufflée.

Je rentrais ma queue d'un coup dans sa chatte velue, elle tremblait d'excitation et de mon côté j'étais au bord de la jouissance sentant à chaque aller et venue ses poils durs contre les miens. J'avais un peu oublié cette sensation depuis que M-C se rasait régulièrement. Aussi très vite, trop vite, je déchargeais de longues giclées de sperme dans ma capote. Tout à mon excitation, je n'avais pas remarqué que Marie-Claude avait entre-temps changé de position pour mieux me regarder pénétrer Natacha. C'était la première fois que je la trompais depuis notre mariage qui plus est à deux mètres d'elle.

Mais elle ne s'en offusquait pas tant elle était aux anges avec Nadia qui avait maintenant sa langue bien rentrée dans son vagin et un doigt lui titillant le clito que je savais si sensible chez elle, alors qu'elle-même caressait à présent le sexe rose de Sandra le pouce dans la chatte et l'index dans son cul en mimant une double pénétration.

M-C de plus en plus excitée souhaitait à présent pouvoir profiter de ma queue. Mais la voyant en berne après avoir satisfait Natacha, elle se demandait quand je serai à nouveau en possession de tous mes moyens. Elle ne voulait surtout pas continuer de me partager avec les autres.

Aussi a-t-elle décidé de prendre congé plus tôt que ne l'espéraient sans doute Nadia et ses copines, mais en les embrassant tour à tour sur la bouche, une main sur leur chatte et l'autre machinalement posée sur un sein en leur promettant que nous reviendrions un soir avant de partir pour les remercier de leur hospitalité. J'en ai profité pour faire de même en insinuant à chaque fois mon majeur dans leur chatte toute humide et le léchant avant de les embrasser chacune leur tour en guise d'au revoir.

A tous les trous on gagne ...

Après cette soirée mémorable nous avons fait l'amour tous les jours restant de la semaine le plus souvent durant la sieste « crapuleuse » que l'on s'imposait compte tenu de la chaleur de l'après-midi dépassant parfois les 40 °C.

M-C était si excitée en repensant à Nadia et Sandra qu'elle s'est prêtée à mon grand étonnement et sans retenue aucune à la sodomie et aux pénétrations de tout objet : godes, jouets ou légumes divers, acceptant même que je lui fouette le corps et surtout le sexe et les fesses avec les fines cordes servant à ouvrir et fermer les rideaux.

Nous laissions la fenêtre grande ouverte mais croisions les volets pour maintenir une certaine fraîcheur dans la chambre tout en profitant de l'air marin de l'extérieur. Dès l'entrée dans la chambre nous nous déshabillions et vaquions à nos occupations entièrement nus afin de pouvoir se caresser à loisir dès que nous étions près l'un de l'autre. Puis après une bonne douche pour évacuer la poussière de notre ballade matinale dans la ville nous nous allongions sur le drap du lit et poursuivions plus avant nos caresses manuelles et buccales.

Qu'il était bon le sexe de M-C tout lisse avec sa mouille un peu pimentée, son petit trou un peu salé que j'aimais entrouvrir de ma langue avant d'y glisser un doigt puis deux en écartant bien son ouverture pour le détendre.

Ce qu'elle appréciait maintenant par-dessus tout c'était que je continue de la pénétrer après avoir éjaculé. J'utilisais alors en général de grosses carottes pour le vagin et de petites pour son petit trou que je remplissait au préalable de vaseline. Mais le must était encore le concombre épluché pour qu'il puisse bien glisser dans sa chatte pendant que j'agitais une petite carotte dans son cul et qu'elle me suçait pour que je reprenne vigueur. Elle adorait cette triple pénétration, j'en profitais alors systématiquement pour placer mon fantasme à savoir la voir se faire pénétrer par un autre. Je recevais toujours en retour le même commentaire :

  • « Tu m'agaces, tu me poses toujours cette question. Tu sais qu'il n'y a que toi Jean-Pierre qui puisse me faire autant jouir. Et de toutes façons, si je devais me faire baiser par un autre ce ne serait pas en ta présence ! »

Un autre après-midi après l'avoir limé un bon moment, elle me dit j'aimerai être ta chose que tu me fasses tout ce qui te passes par la tête sans me faire trop mal bien sûr, juste ce qu'il faut pour jouir encore plus en me sentant soumise.

Je restais abasourdi un moment. Et après quelques secondes de réflexion je lui proposais de la fesser avec la cordelette du rideau. Elle me dit :

  • « Oh oui chéri fouettes moi s'il te plaît, doucement d'abord et de plus en plus fort tant que je ne te supplie pas d'arrêter tu continueras de me frapper. Promets le moi même si ma peau devient toute rouge, n'arrêtes pas avant que je te le dises. »

Je détachais la cordelette du rideau puis la pliais en plusieurs brins pour m'en faire une sorte de martinet. Elle était très fine et au premier coup je constatais immédiatement que Marie-Claude appréciait le traitement. Je me concentrais d'abord sur les fesses qui ont commencé de rougir sous les coups redoublés. Je lui ai alors demandé si ça allait elle m'a dit que oui et que je devais continuer. Je lui ai ensuite demandé de se retourner et me suis attaqué à ses seins en insistant sur ses tétons qui durcissaient sous mes coups. Je bandais comme un salaud. J'avais envie d'arrêter et de la prendre rapidement. Elle refusa et m'intima l'ordre de continuer.

Je me suis alors attaqué carrément à son sexe, sur le pubis d'abord que je savais résistant pour subir ce genre de coup, puis un coup sur deux sur ses lèvres fragiles. Elle a alors poussé un petit cri et écartant alors largement les cuisses elle s'est mise à crier plus fort :

  • « Oh ouiiiiiii ! Fais moi mal, frappes moi la chatte. Elle me brûle à présent. Que c'est bon !!! »

Je n'osais continuer voyant à présent ses lèvres écarlates et ses cuisses de chaque côté complètement zébrées de petites lignes rouges commençant doucement à gonfler. Elle me demanda enfin d'arrêter. Je me précipitais alors sur son sexe pour le lécher et calmer le feu du fouet.

Elle me demanda alors de la pénétrer en douceur, ce que je fis pour ne pas abîmer plus ses lèvres. Puis n'ayant pu aller au bout de mon plaisir. Je décidais puisque cet après-midi là j'étais son maître, de la retourner et de la mettre à quatre pattes comme une chienne en chaleur qu'elle était à ce moment-là.

Un peu de vaseline dans son petit trou, un puis deux doigts pour bien préparer et détendre son anneau. Je présentais alors mon gland pour la première fois face au dernier trou encore vierge de Marie-Claude. Elle me dit alors :

  • « vas-y mets la moi mais doucement, tu sais j'ai les fesses déjà en feu par ta fessée de tout à l'heure, mais je veux être entièrement dominée. Alors une fois le bout du gland passé, pousses un bon coup et défonces moi le cul !!».

En effet j'ai pu entièrement m'introduire dans son cul. Le moment de douleur passé, elle m'a alors invité à commencer mes va et vient de plus en plus vite. Elle a de nouveau crié, je crois que tout l'immeuble devait l'entendre dire :

  • « Ouuiiiii !!! Encore !!! Oh ! que c'est bon !! Je jouis !! Je jouis !!! »

Je sentais également que cela montait et qu'il ne faudrait guère plus d'un ou deux aller et retour avant de tout lâcher dans son étroit conduit. Elle m'a demandé alors de me retirer et de venir déverser tout mon sperme dans sa bouche.

Trois long jets sont partis, elle a pris le premier en pleine figure et s'est alors précipité sur ma queue pour la prendre en pleine bouche et recueillir le reste au fond de la gorge. Une fois avalé, repue et contente de son après-midi elle s'est allongée pour finir sa sieste ....

Il me restait maintenant à réaliser mon rêve, voir ma femme jouir avec un autre homme. C'est une autre longue histoire que je vous raconterai bientôt.

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